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  • Photo du rédacteurEmanuel Archambault

DAI engagée sur le volet numérique, couloir hôpital DPI

L’objectif fondateur du Ségur de la Santé est d’améliorer la prise en charge des patients et le quotidien des soignants. Ce plan de soutien prévoit d’injecter 19 milliards d’euros dans le système de soin français sur les prochaines années. Pour atteindre ses ambitions, il nécessite la participation de tous les acteurs de l’écosystème santé, y compris les fournisseurs de solutions logicielles.

Avec 2 milliards d’euros investis, le volet numérique du programme est une charnière de la modernisation du secteur hospitalier. C’est à ce niveau que DAI prend part au Ségur, avec le logiciel Rééducation.



Un contexte de crise

Lancé en mai 2020 par le Premier ministre Édouard Philippe et le ministre de la Santé, Olivier Véran, le ”Ségur de la Santé” doit son nom à l’avenue où se trouve le ministère éponyme, dans le 7e arrondissement de Paris. Il résulte d’un contexte de crise installée au sein de nos hôpitaux et autres entités de soins. Une crise exacerbée par l’épidémie de Covid-19.



Les 4 piliers du Ségur de la Santé

La période de concertation initiale avec les acteurs de notre système de soin a mis en exergue l’importance de revaloriser les métiers des établissements de santé et de relancer l’attractivité des structures de prise en charge. Elle a permis de dégager quatre grands piliers, quatre axes d’action.


Transformer les métiers et revaloriser les salaires des soignants.

Définir une nouvelle politique d’investissement et de financement au service des soins.

Simplifier les organisations et le quotidien des équipes.

Fédérer les acteurs de la santé dans les territoires au service des usagers.



Le patient, point de convergence des 6 ”couloirs”

L’ANS (Agence nationale de santé) a l’ambition de généraliser le DPI (Dossier patient informatisé) grâce à ”Mon espace santé”, accessible pour chaque patient via son INS (Identifiant national de santé). Le Dossier Médical Partagé (DMP) est ainsi alimenté grâce aux solutions logicielles des éditeurs professionnels intervenant dans 6 thématiques distinctes, nommées ”couloirs” : le médico-social, la pharmacie, la radiologie, la biologie, la ville et l’hôpital.



Rééducation aide à fluidifier et sécuriser le partage des données

Sur le volet numérique, c’est dans le couloir ’Hôpital” que la société DAI postule pour le référencement de Rééducation, son logiciel de suivi du parcours patients. Avec sa solution de DPI pour établissements de soins de suite et de réadaptation, DAI participe au DMP et aide les patients à disposer d’une vision complète et consolidée de leur santé.


Concrètement, sur l’outil en ligne Convergence, elle a candidaté pour le référencement (Dossier Spécifique de référencement) et prouvé qu’elle répond à une liste d’exigences attendues. Ainsi, elle a fourni à l’ANS les preuves du potentiel fonctionnel de Rééducation en matière :


d’opérabilité ;

de récupération des informations extérieures.


250 millions !

D’ici 2023, c’est le nombre de documents médicaux qui devraient être échangés par an sur les DMP (source ANS). Ce prévisionnel ambitieux confirme la place stratégique du volet numérique dans la transformation du système de santé portée par le Ségur.



Financement de certaines dépenses numériques des SSR

L’accélération du numérique en santé passe par un accompagnement financier des professionnels du secteur, et notamment le déblocage de subventions pour les frais de mise à niveau des logiciels des établissements. Deux types de financement sont identifiés : l’un à l’usage (SUN-ES) et l’autre à l’équipement (SONS).


Pour plus d’informations, consultez les liens suivants

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